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Les pires animaux retrouvés dans la Seine !

Dr Nozman

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689 376 vues - 19 juillet 2024

Introduction

La Seine, célèbre pour ses paysages pittoresques et ses monuments historiques, cache parfois des surprises moins charmantes sous ses eaux. En tant que fleuve traversant Paris, elle attire non seulement des touristes mais aussi des créatures aquatiques qui sont loin d’être ordinaires. Quels sont les pires animaux qui ont été retrouvés dans la Seine ? De la présence inattendue de requins à des découvertes encore plus surprenantes, plongeons dans les mystères de ce fleuve emblématique.

Les découvertes inattendues

1. Un requin dans la Seine ?

Résumé : L’idée même de retrouver un requin dans la Seine peut sembler incroyable, mais en 2020, des informations ont circulé sur une possible découverte de requins dans le fleuve. Bien que la plupart de ces rapports se soient avérés être des canulars ou des exagérations, il est vrai que la présence de requins dans les eaux douces n'est pas impossible. Les requins de petite taille, comme le requin-bébé, pourraient théoriquement survivre dans des eaux moins salées, mais aucun cas vérifié de requin adulte dans la Seine n’a été confirmé.

2. Les crocodiles de Paris ?

Résumé : L’idée de crocodiles dans la Seine pourrait sembler tout droit sortie d’un film, mais des cas de découvertes de reptiles exotiques dans des rivières en Europe ne sont pas inédits. En 2019, un crocodile de petite taille a été retrouvé dans la Seine, probablement abandonné par un propriétaire irresponsable. Les reptiles exotiques, souvent lâchés par des propriétaires non informés, peuvent parfois faire leur apparition dans des environnements non naturels.

3. Des poissons tropicaux égarés

Résumé : Des poissons tropicaux, tels que le poisson-clown ou le poisson-lune, sont parfois retrouvés dans des rivières et des fleuves en raison de leur abandon par des aquariophiles. Bernard Hugueny, chercheur à l’IRD et spécialiste en poissons tropicaux, a confirmé que ces poissons peuvent survivre temporairement dans des environnements non adaptés, mais leur présence dans la Seine est généralement le résultat d’actes irresponsables.

4. Les mammifères marins égarés

Résumé : Les mammifères marins, tels que les dauphins ou les phoques, peuvent parfois se retrouver loin de leur habitat naturel. Robert Michaud, président du Groupe de recherche et d'éducation sur les mammifères marins (GREMM), explique que les dauphins errants peuvent parfois pénétrer dans les rivières à la recherche de nourriture ou à cause de perturbations dans leur environnement marin. Ces occurrences sont rares, mais elles attirent beaucoup d’attention lorsqu’elles se produisent.

L’Impact Environnemental et les Efforts de Préservation

Impact sur l’écosystème

Résumé : La présence de ces animaux exotiques ou non indigènes dans la Seine peut avoir des effets négatifs sur l’écosystème local. Les animaux non natifs peuvent perturber les chaînes alimentaires locales, introduire des maladies et concurrencer les espèces indigènes pour les ressources.

Les efforts pour protéger la Seine

Résumé : Des initiatives sont mises en place pour protéger la faune et la flore de la Seine. Les équipes de nettoyage et les autorités locales travaillent en collaboration pour enlever les animaux non indigènes et rétablir un équilibre écologique. De plus, des programmes éducatifs sont en place pour sensibiliser le public à l'impact de l’abandon d’animaux exotiques.

Conclusion

Bien que la Seine soit surtout connue pour ses aspects culturels et historiques, elle abrite aussi des surprises inattendues en ce qui concerne sa faune. Que vous soyez sceptique ou intrigué par les histoires de requins, crocodiles, poissons tropicaux ou mammifères marins, il est clair que ces découvertes rappellent l'importance de la préservation et de la gestion responsable des animaux exotiques.

Pour plus de détails et de mises à jour sur les découvertes dans la Seine, restez à l’écoute des prochaines publications !

Relecture du script : Marc Jaeger, directeur du ZooParc Planet Exotica ; Bernard Hugueny, chercheur à l’IRD et spécialiste en poissons tropicaux ; Robert Michaud, président du Groupe de recherche et d'éducation sur les mammifères marins (GREMM)

Montage / Cadrage : jimwild3

Script : lesrecapsdumonde


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